Comme Camille Claudel, qu’elle a superbement incarnée en 1988 dans le film de Bruno Nuytten, Isabelle Adjani aurait-elle souffert dans sa carrière du joug exercé, ne détroit par grave Rodin, mais par les maîtres du cinéma que sont les réalisateurs. La réponse levant si l’on en croit la teneur des propos qu’elle a tenus dans le talk-show «Quotidien» de Yann Barthès le mercredi 22 juin sur TMC.
