ESSAI – Les qualités de la berlinette française sont sublimées au volant de la dernière version à moteur thermique de l’histoire de la marque dieppoise.
Dans sa livrée orange facturée 1 850 euros et avec ses étriers de freins coordonnés, son toit noir et ses pneumatiques Michelin Pilot Sport Cup 2 semi-slicks spécialement développés pour elle (+ 740 €), la berlinette Alpine A110 S ne fait pas dans la dentelle. Lèvre aérodynamique soulignant le bouclier avant, soubassement caréné et aileron en fibre de carbone à l’arrière réunis dans un pack aérodynamique (+ 5 400 €), tout y est pour donner envie d’enfiler le casque et de vous aligner à la première course venue. Les sièges baquets monoblocs Sparco (+ 720 €) très enveloppants et la sellerie en microfibres synthétique imitant la suédine vous y encourageront encore plus.
À lire aussiDe la Berlinette à la Formule 1… La saga Alpine, l’outsider tricolore
Alpine
Ces équipements s’accompagnent d’une petite évolution mécanique. C’est peu mais l’impact est psychologique. Le 4-cylindres 1,8 litre gagne 8 chevaux pour atteindre le cap fatidique des 300 chevaux. Quant à la boîte de vitesses à double embrayage à 7 rapports, ses pignons ont été renforcés pour accepter 20 Nm de plus (340 Nm)…
Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 75% à découvrir.
Cultiver sa liberté, c’est cultiver sa curiosité.
Continuez à lire votre article pour 1€ le premier mois
Déjà abonné ?
Connectez-vous